Charlotte Pécheur • OA1257
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Ostéopathe Animalier & Comportementaliste
Ostéopathe Animalier & Comportementaliste
Vous sentez que votre chien est souvent tendu, nerveux ou anxieux, sans toujours comprendre pourquoi ? Dans cet article, nous allons explorer ensemble les signes du stress canin, leurs causes, et surtout comment agir concrètement pour apaiser votre animal. Car tout commence par une chose essentielle : apprendre à bien lire son chien. Être gardien·ne, c’est accepter de se remettre en question, de s’impliquer et parfois de travailler en profondeur pour rétablir son équilibre émotionnel. Et parce qu’Internet regorge de prétendues « solutions miracles », nous verrons aussi comment faire la différence entre les approches réellement efficaces et les autres.
Lorsqu’un chien est soumis à un stress, son organisme réagit en conséquence. Tout stress n’est pas nécessairement délétère. Mais nous parlerons ici des signaux liés à un stress « négatif », c’est-à-dire qui porte atteinte à l’intégrité physique et/ou émotionnelle du chien, sans que ce dernier ne soit en capacité immédiate d’y faire face.
C’est le système orthosympathique qui s’active lorsqu’un stress survient (lié à la fuite ou à la lutte). Lorsqu'il est activé, il déclenche diverses réactions physiologiques :
Réactions physiologiques :
On peut distinguer les signaux précoces et ceux qui traduisent un stress plus intense :
Typologie des signaux :
Et plus largement, on peut observer les symptômes suivants :
| Catégorie | Comportements observés |
|---|---|
| Comportements répétitifs | Léchage / grattage excessif, tourner en rond, faire les 100 pas, dort peu, etc. |
| Troubles digestifs | Diarrhées, vomissements, etc. |
| Vocalisations excessives | Aboiements, gémissements, etc. |
| Signes physiques ponctuels | Halètement, tremblements, queue entre les pattes, perte de poils, hypersalivation, transpiration des pattes, pupilles dilatées, oreilles collées au crâne, bâillements, inhibition, etc. |
| Comportements destructeurs | Morsures, léchages obsessionnels, automutilations, perte d’appétit ou inverse, destruction d’objets, etc. |
Les chiens comme le Border Collie, le Labrador, le Bichon ou le Caniche sont souvent plus sensibles à la solitude. Mais il faut toujours garder en tête que cela ne reflète pas forcément votre réalité.
Tous les chiens peuvent souffrir de la solitude suivant leur génétique, leur passé ou leurs apprentissages précoces. Oui, certaines races semblent donc plus sensibles, mais l’éducation, la socialisation et les expériences vécues pèsent tout autant.
Une grande part du travail autour du stress du chien repose sur nous autres, gardien·nes.
Une étude menée en Italie sur 1190 participant·es (Mariti et al., 2012) a montré que 60% des propriétaires savent identifier correctement les signes évidents de stress comme les tremblements, les gémissements, les aboiements ou l’agressivité. En revanche, les signaux plus subtils (bâillements, léchage de truffe, oreille baissée, détournement du regard) sont rarement repérés, alors qu’ils apparaissent dans les premiers stades de l’anxiété.
L’absence de reconnaissance des signaux subtils mène souvent à une aggravation du stress (du stade eustress → overstress → distress). En effet, le chien ne trouvant aucune solution à son état de stress risquera de voir son stress augmenter, avec un sentiment d’impuissance. Cela peut conduire à :
Conséquences possibles :
🔗 Pour aller plus loin :
À priori, tout peut être considéré comme un stress :
Le stress est un mécanisme adaptatif et utile au bon fonctionnement du corps et du chien dans son environnement. C’est même nécessaire à sa survie. En revanche, cela ne veut pas dire pour autant que le stress est quelque chose de désirable.
💡 Important à retenir :
Tout est une question d’équilibre. Cela doit se passer en harmonie, tant que le système est en capacité de gérer le stress auquel il fait face, et que ce stress n’est ni trop fréquent ni trop intense.
Dans le cas contraire, le stress peut engendrer :
⚠️ Important à savoir :
Sur le long terme, le stress chronique altère le système immunitaire (Beerda et al., 1999), avec des risques de leucocytose et d’une baisse de lymphocytes. Et il y a aussi un risque de maladies de peau liées au stress, avec le grattage compulsif, la perte de poils ou encore des plaies par automutilation.
Outre cet aspect santé, le stress chronique altère considérablement la qualité de vie du chien au quotidien :
Comme je l’ai dit plus haut, tout peut être vécu comme un stress potentiel suivant le profil du chien. Mais bien sûr, il existe des situations plus récurrentes que d’autres et qui peuvent être évitées, limitées, voire au mieux bien gérées, une fois qu’elles ont eu lieu :
| Catégorie | Facteurs ou situations associées | Explications |
|---|---|---|
| Changements sociaux | Arrivée d’un bébé ou d’un ou plusieurs animaux, décès, séparation, maladie. | Toute perturbation du quotidien peut être générateur de stress. La routine est modifiée, ainsi que le temps consacré au chien. Les humains peuvent voir leur état émotionnel chamboulé également. La prise de traitement peut perturber certains chiens, bien plus sensibles que nous. |
| Changements environnementaux | Déménagement, travaux, nouvel agencement, voiture (mal de transport). | Cela rejoint les perturbations du quotidien. |
| Traumatismes passés | Maltraitance, chocs émotionnels. | Via les générations précédentes, la vie in-utero, la vie précoce ou bien plus tard dans la vie adulte. Tout traumatisme, quel qu’il soit, peut générer du stress et être à l’origine d’un stress chronique / anxiété par la suite. |
| Manque de stimulation | Ennui, manque d’exercice ou de stimulation cognitive. | Les chiens ont besoin de réfléchir, certains plus que d’autres. Il est important de leur fournir une dépense / stimulation cognitive en plus de l’activité physique. |
| Phobies | Bruits forts, orages, pétards. | Ponctuels ou récurrents, ils peuvent provoquer un état de stress chronique par le côté imprévisible et soudain. Le chien restera alors en hyper-vigilance jusqu’à revenir à un état « nerveux » neutre (ce qui, en fonction des chiens, peut demander quelques minutes comme plusieurs jours / semaines…). |
| Facteurs médicaux | Douleur, alimentation inadéquate, prédispositions génétiques. | C’est un stress intrinsèque du système en lui-même. Cela engendre de l’hyper-sensibilité, une diminution de la tolérance, etc. |
| Congénères | Au sein du foyer, rencontres de congénères inconnus. Ou promenades régulières avec des congénères connus, mais qui ne sont pas compatibles. | Une exposition trop fréquente à des congénères qui ne correspondent pas au chien (en âge, en tempérament, etc.), au sein du foyer ou bien en promenade, peut être une occasion stressante. |
| Soins, manipulations, examens | Consultation vétérinaire / ostéopathique, soin quotidien, toilettage, etc. | Toutes les contentions et les visites dans des centres de soins peuvent être stressantes si elles sont mal, voire pas introduites, ou s’il y a eu des mauvaises expériences. |
La règle d’or à garder à l’esprit, c’est que nous, gardien·nes, sommes les premiers acteurs de l’apaisement du stress chez nos chiens. Cela passe notamment par le fait de nous éduquer, d’apprendre à reconnaître les signaux faibles. Ce qui permet d’intervenir tôt et d’éviter l’installation de comportements problématiques.
Je vous propose donc de déjà prendre conscience de tout ce qu’il est possible de faire à votre échelle.
🚨 Important à retenir :
Et j’en profite dès maintenant pour rappeler CE QU’IL NE FAUT PAS FAIRE en cas de stress du chien :
Une grosse partie du travail se situe dans l’accompagnement du chien par son ou sa gardien·ne. Une fois sensibilisé·e aux signes d’inconfort et/ou de stress chez l’animal, vous commencerez à mieux comprendre les causes, et donc vous pourrez :
| Recommandation | Détails / Explications |
|---|---|
| Créer un environnement stable | Cela signifie offrir un cadre rassurant et prévisible pour l’animal, en éloignant les sources possibles de stress, en laissant dormir et en fournissant divers couchages. |
| Favoriser la socialisation / sociabilisation | Cela se fait par le biais de l’éducation et des interactions dès le plus jeune âge. MAIS DE MANIÈRE RAISONNÉE ET ADAPTÉE !! (J’explique en détails ce que cela veut dire sous ce tableau) |
| Stimuler l’animal | On doit prévoir de l’activité physique, des jeux, des promenades. On peut rajouter des jouets interactifs, de bâtons de mastications, des interactions avec l’humain (jeux, sports canins, etc.). |
| Renforcer le lien affectif | Cela peut paraître évident, mais des caresses, votre présence, votre attention, des jeux, un soutien social lors des moments de peur / stress… sont très importants. Le simple fait de « valider » les craintes / l’état de stress en étant présent·e est un soutien. Certains individus nécessiteront un soutien de contact, d’autres uniquement votre présence, et parfois, l’un, l’autre ou les deux en fonction du contexte… |
| Adapter l’alimentation | Il est aussi important de privilégier une alimentation adaptée. Je vous recommande vivement de voir ce point avec votre vétérinaire nutritionniste. |
| Massage, musique apaisante | Je vous recommande notamment l’exercice de la fourchette magique de Lisa Longo, une routine de massage / caresses / câlins à réaliser à des moments clés. |
| Créer une routine | Les horaires stables favorisent la prédictibilité et donc le cadre rassurant. Les habitudes ont aussi du bon chez nos chiens. |
Ce sujet de la socialisation mérite un article entier (et il est prévu). Mais voici déjà quelques informations à retenir :
💡 Socialisation ≠ sociabilisation :
Lorsque le chiot arrive dans son nouveau foyer, il est important de prendre en compte ses différentes phases de développement et donc d’y aller de manière protocolaire. Dès lors, si certaines étapes de socialisation sont nécessaires, il faut prendre votre temps afin de ne pas risquer, au contraire, de le sensibiliser à certaines situations problématiques. En effet, entre 2 et 4 mois notamment, le cerveau du chiot ne garde que les expériences les plus fréquentes, qu’elles soient négatives ou positives !
Par ailleurs, lorsque l’on parle de « socialisation », on confond très souvent avec la sociabilisation justement. Et notamment le fait de faire rencontrer d’autres congénères à son chiot afin qu’il soit « le plus sociable possible ». Mais en général, on ne leur fait rencontrer que des chiots, avec lesquels ils partagent autant d’excitation et peu, voire pas, de temporisation dans leurs actions / émotions / comportements.
Bien qu’il soit normal de leur permettre d’interagir avec d’autres chiots, il est également indispensable de les faire évoluer avec des chiens adultes équilibrés, de différents âges, de différents niveaux d’énergie et de différents gabarits / races, afin que le chiot puisse apprendre à écouter et à s’adapter aux congénères qu’il côtoie.
Bien souvent, les chiens les plus sociables ne sont pas nécessairement les plus sociaux et ne disposent pas forcément de tous les « codes ». Ils peuvent être extrêmes dans leurs émotions (positives ou négatives) et générer, malgré eux, des conflits ! Tandis que les chiens « asociables », mais qui ont eu une socialisation correcte, sauront généralement se faire comprendre sans déclencher de conflit.
Le fait de disposer des « codes » (être social) ne signifie pas que votre chien souhaitera aller rencontrer et interagir avec tous les chiens (être sociable). Et c’est tout à fait normal.
Lorsque l’on observe les chiens des rues par exemple, ils évoluent tous à proximité les uns des autres, communiquent à distance, mais pour certains sans jamais venir au contact / « jouer ». Chaque chien aura des congénères préférentiels avec lesquels il aura plaisir à être au contact, jouer ou partager des activités. Mais il ne s’agit bien souvent que d’un petit nombre.
Les outils connectés, et notamment les caméras, se révèlent être de très bonnes aides en cas d’anxiété, ou tout simplement pour observer, surveiller et comprendre son chien lors de nos absences. Lors de votre retour, vous pouvez visualiser le film et ainsi analyser les comportements de votre chien :
Bien que ces outils ne soient pas parfaits, puisqu’après tout, on traite avec le vivant, certaines caméras arrivent maintenant à détecter certains signes de « stress » chez le chien. Il est même possible de parler à votre chien afin de le rassurer.
🚨 Essentiel à retenir :
Évidemment, aucun outil ne permet de remplacer le travail nécessaire de la relation gardien·ne / chien en parallèle. Mais cela peut être une réelle aide !
Avec le désir grandissant de vouloir contribuer au bien-être de nos chiens, en particulier à l’aide de « méthodes douces », beaucoup de solutions anti-stress dites « naturelles » inondent le marché. Selon moi, il s’agit en partie d’une bonne chose. Car cela amène à se poser des questions sur différentes manières d’agir.
Mais cela amène aussi son lot d’inconvénients : business peu contrôlé, marketing mensonger, prix aguicheurs, trop grande place à l’anthropomorphisme, etc. Et surtout, il ne faudrait pas que cela devienne un moyen de « remplacer le travail gardien·ne / chien » absolument nécessaire et qui doit être priorisé.
S’il est important de prendre en compte le bien-être de son chien, il est aussi important de savoir vers quoi (ou qui) se tourner. Je vous propose ci-dessous une liste des solutions « anti-stress naturelles » les plus recommandées sur le net, avec mes réflexions (Pour l’Huile de CBD pour chien sans THC, j’en parle dans une partie dédiée après le tableau).
🚨 SPOILER ALERT 🚨 :
Je vous encourage vivement à vous faire accompagner par des professionnel·les de la santé animale avant de décider d’utiliser l’une d’entre elles.
| Solutions | Réflexions |
|---|---|
| Acides gras Oméga 3 | Aucune étude ne se penche sur le lien entre les acides gras oméga 3 et l’anxiété chez le chien. Mais il s’agit d’un anti-inflammatoire dont les effets sont prouvés pour soulager les douleurs (liées à l’arthrose par exemple). Il peut donc indirectement aider à diminuer le stress en diminuant la douleur. Aucun effet secondaire n’est rapporté lors d’une supplémentation chronique (Combarros et al., 2020 ; Dahms et al., 2016a, Dahms et al., 2016b). En revanche, il ne se substitue pas à un traitement médicamenteux chimique lorsque cela est nécessaire. Attention également au rapport omégas 3 / omégas 6. |
| Comprimés anti-stress | Je pense notamment au L-tryptophane. Les effets comportementaux d’une telle supplémentation restent à ce jour insatisfaisants. Chez le chien, la supplémentation orale en tryptophane augmente sa disponibilité plasmatique (Bosch et al., 2009a), mais elle est inefficace pour traiter les signes d’anxiété ou les comportements stéréotypés. En plus, il faut faire attention aux compétitions entre le tryptophane et les autres acides-aminés. |
| Homéopathie | Il existe de nombreux témoignages rapportant des effets bénéfiques de l’homéopathie sur les chiens. Mais il n’existe encore aucun résultat démontré scientifiquement. |
| Huiles essentielles, sprays et colliers anti-stress | Attention aux toxicités éventuelles, car il y a une grande concentration des substances actives. Et d’ailleurs, cela soulève une question éthique vis-à-vis de leur odorat particulièrement développé : quel est l’impact sur le système sensoriel du chien ? |
| Phytothérapie | Cela concerne les compléments à base de plantes (mélisse, rhodiola, valériane) ou encore les élixirs floraux comme Fleurs de Bach. Pour la majorité de ces solutions, des propriétés anxiolytiques sont reconnues. Mais aucune étude chez le chien à ce jour. |
| Protéines de lait | Je pense à l’hydrolysat trypsique de la caséine alpha-s1 de lait bovin. Des études (Palestrini et al., 2010 ; Beata et al., 2007b) montrent une efficacité possible sur les comportements anxieux. Cependant, la présence simultanée d’une thérapie comportementale rend difficile d’attribuer les effets uniquement au traitement. Résultats encourageants mais insuffisants pour affirmer un effet bénéfique réel. |
| Phéromones apaisantes | Certaines études montrent un effet bénéfique sur les signes de peur chez la mère allaitante, les chiots et des chiens adultes. D’autres ne montrent aucun effet significatif. Cela peut aussi perturber le chien par la présence de phéromones inconnues non associées à un individu réel. |
Toutes ces « solutions naturelles » sont à prendre avec précaution. Elles ne devraient être utilisées qu’avec accord d’un·e vétérinaire et/ou nutritionniste, car il peut exister de nombreuses contre-indications suivant le profil du chien.
Mais je vous le rappelle de nouveau : avant de chercher des « solutions anti-stress » de type complément ou médicament, il est primordial de chercher la cause du stress et donc d’agir sur cette source stressante. Cela peut provenir entre autres :
⚠️ Important à retenir :
Ce n’est qu’une fois toutes ces pistes écartées ou traitées (avec un·e vétérinaire, nutritionniste et/ou comportementaliste selon la cause) qu’il pourra être intéressant de tester de nouvelles choses, afin de voir si cela peut améliorer le confort du chien.
L’intestin est un organe qui intervient dans la régulation de la peur et de l’anxiété. L’iléon (qui en est une partie) peut notamment produire de la corticostérone. Un dysfonctionnement du microbiote peut ainsi provoquer une surproduction permanente de corticostérone par l’iléon (Mukherji et al., 2013).
L’intestin et le cerveau interagissent en permanence, et les conditions du microbiote intestinal vont modifier les paramètres physiologiques de l’anxiété. Il existe de nombreux moyens par lesquels les bactéries intestinales modulent l’anxiété dans l’organisme (Wiley et al., 2017) :
💡 Ce qu’il faut retenir :
D’où l’importance de chouchouter le microbiote de votre chien via une alimentation adaptée, avec des probiotiques si nécessaire (à discuter avec votre vétérinaire nutritionniste).
L’utilisation de CBD (sans THC) voit un essor important depuis quelques années, qu’il s’agisse du monde humain ou canin/félin. Son utilisation et son autorisation en tant que médicament sont acquises en médecine humaine. Mais elles sont beaucoup moins explorées en médecine vétérinaire.
Il n’existe, à ce jour, pas de preuves scientifiques de l’efficacité du CBD sur les troubles revendiqués par les entreprises commercialisant les produits à base de CBD. La majorité des équipes de recherche et des vétérinaires expriment la nécessité de disposer d’études plus approfondies qui apportent des preuves indiscutables de l’efficacité et de la sécurité liées à l’administration de ces produits chez le chien et le chat.
Ces solutions sont en dehors du circuit vétérinaire et échappent au système de pharmacovigilance vétérinaire. Ceci peut poser problème, car certains effets indésirables ont été observés dans la majorité des études utilisant ce type de produits, par exemple :
L’intérêt de l’administration de CBD dans le cas d’anomalie comportementale n’a pas été clairement démontré par la communauté scientifique. Pourtant, de nombreux propriétaires rapportent une amélioration plus ou moins significative de l’état de leur chien (douleur ou stress) : effet réel ou placebo ? Cela nécessite des investigations supplémentaires.
Au moindre doute et en particulier si les symptômes persistent malgré les mesures prises, un·e vétérinaire doit être consulté·e pour évaluer la situation et prescrire un traitement adapté. Une fois la cause santé écartée, il sera utile de se faire accompagner par un comportementaliste.
Pour aller plus loin :
Vous pensez que votre chien est stressé ou anxieux ?
Lundi au vendredi : 9h-19h
Samedi : 9h-13h
06-14-94-57-18
charlottepecheur.pro@gmail.com
Charlotte Pécheur - Ostéopathe Animalier Biomécaniste
Équin, canin, félin, bovin, caprin, NACs
Spécialisée en comportement animal
Pays de la Loire (44), Corrèze (19), Creuse (23)
Charlotte PÉCHEUR - RNA OA1257
SIRET : 922 653 175 00013
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