Charlotte Pécheur • OA1257
Pays de la Loire et tournées en Corrèze et Creuse
À domicile - Toutes espèces
Contactez-moi
06-14-94-57-18
Vous êtes fatigués d’entendre votre chien aboyer à longueur de journée au moindre bruit / passage ? Vos voisins se plaignent et vous commencez à raser les murs lorsque vous sortez de chez vous ? Vous êtes allés sur internet ou avez demandé à des proches des solutions et vous vous retrouvez face à plein de solutions plus ou moins éthiques…
Certains vous feront miroiter des “solutions miracles” avec des “astuces anti-aboiement de chien” : des colliers anti-aboiements (désagréable voire douloureux), des méthodes vous promettant des résultats rapides sans prendre en compte votre situation. Résistez à cette tentation du résultat “rapide”, il ne sera probablement que de courte durée ou amènera d’autres comportements indésirables.
Pour un résultat réellement efficace, durable et éthique, cela peut nécessiter du temps et surtout, un accompagnement personnalisé.
Quelques idées reçues qui méritent d'être précisées :
Idée reçue | Remarque |
"Un chien qui aboie beaucoup est méchant." | La faute aux pubs, films et série où l’on voit des chiens de “garde” ou d’attaque qui aboient (et en général ce sont des gros chiens noirs, marron/noir, entretenant l’idée que ces chiens-là sont dangereux et méchants). |
"Il faut crier plus fort que lui pour qu’il se taise." | Derrière cette affirmation se trouve l’idée qu’il faut éduquer un chien de manière “ferme”, avec autorité car nous nous devons d’être les “alpha” et les “chefs de meute”. Tout cela est faux bien sûr, la hiérarchie inter-espèce n’existe pas d’une part. D’autre part, une relation basée exclusivement sur un rapport de force/pouvoir/peur est vouée à l’échec. |
"Un chien qui aboie est dominant." | Souvent évoqué lors des interactions entre congénères, il s’agit encore d’une idée reçue puisque l’aboiement, comme toute vocalise n’est qu’un mode de communication. Certains chiens l’utiliseront préférentiellement comparé à d’autres. |
"Laisser le chien aboyer le fatiguera et le fera arrêter." | Tout comme pour les enfants, la notion de fatigue est toute relative et certains individus, justement car ils seront épuisés de s’époumoner sans recevoir d’écoute ni de soutien de notre part, redoubleront d’effort et d’intensité. Cela peut également augmenter encore davantage le niveau de stress initial et limiter les chances de redescendre en pression et s’apaiser ensuite. Cela pourra aussi créer une crainte par anticipation à la prochaine situation similaire et donc amener des aboiements plus forts, plus intenses et se déclarant plus vite… |
"Il aboie juste pour embêter son maître." | Le chien n’a pas de conscience morale, cette réflexion n’a donc pas lieu d’être. Ils sont opportunistes et agissent par association. S’ils aboient, c’est qu’ils y trouvent un intérêt (réponse du gardien, apaisement, éloignement de ce qui lui fait peur, etc.). |
"Un bon chien n’aboie jamais." | À moins de parler d’un chien en peluche, nous ne pouvons que réfuter cette affirmation. Le chien est un animal dont le mode de communication comprend en grande partie les vocalisations. Les aboiements en font partie, au même titre que la parole pour nous et le miaulement chez chat depuis qu’ils sont domestiqués. |
"C’est normal que certaines races aboient tout le temps." | Certaines races sont effectivement génétiquement prédisposées à vocaliser davantage, certaines sont même sélectionnées pour ça. En revanche, ce n’est pas normal qu’un chien aboie de manière intempestive. Toute la nuance réside dans la fréquence d’apparition et l’état dans lequel le chien est lorsqu’il aboie. |
"Ignorer complètement l'aboiement le fera disparaître." | Cela revient au même que de laisser bébé pleurer alors que celui-ci a faim, mal au ventre ou est inquiet… Nous savons qu’il y a encore des méthodes de ce type, pourtant cela est reconnu maintenant que ce n’est pas la solution. L’ignorer et le laisser pleurer/aboyer le rendra éventuellement résigné et lui apprendra que nous ne serons jamais là pour écouter et répondre à ses besoins. Nous ne sommes donc pas dignes de confiance et il ne sert à rien de se reposer sur nous, cela est même potentiellement dangereux ⇒ nous ne serons pas considérés comme un référent fiable et apaisant. Dommage quand même, non ? |
"Un chiot qui aboie beaucoup deviendra forcément un adulte bruyant." | Il peut y avoir un tempérament plus expressif chez certains chiots c’est vrai. Mais un chiot aboyant beaucoup ne deviendra pas forcément un adulte bruyant car le chiot peut aboyer pour beaucoup de raisons différentes (détresse, douleur, besoins non comblés, etc.), s’il n’a plus de raisons d’aboyer, le comportement cessera progressivement. |
L’aboiement ne devrait pas être vu comme une provocation ou un manque d’éducation, encore moins comme un défaut. Il s’agit d’un message, lié à une émotion ou bien à un besoin. Le chien qui aboie est à l’image de l’humain qui parle : il communique et transmet un message. Et c’est à nous de réussir à récupérer ce message, à le décrypter afin de pouvoir lui répondre de manière adaptée.
Le problème n’est pas que le chien aboie mais peut-être qu’il le fasse de manière trop systématique ou bien qu’il ne sache plus s’arrêter une fois lancé. On ne cherchera pas à l’empêcher mais à l’aider à ne pas se renforcer dans un cercle vicieux sans savoir s’arrêter (cela est épuisant pour nous mais aussi pour lui !).
Dans cet article, nous parlons donc du des cas des aboiements intempestifs, ce qui est une nuisance sonore et porte atteinte au quotidien (voisins, sorties, etc.).
Aboiement | Vocalise d’alarme, de prévention, d’excitation, de mise à distance, de communication “simple”. |
Jappement | Excitation, impatience, frustration. |
Chouinement | Excitation, impatience, attention, frustration. |
Hurlement | Primitif, communication en communauté, peur/détresse. |
Chant | Contentement. |
Gémissement | Contentement, douleur. |
Grognement | Prévention, contentement, mise à distance, jeu. |
Pleurs/plaintes | Détresse, douleur. |
C’est un fait, il existe bel et bien des races connues pour vocaliser davantage. Cela ne veut pas dire que c’est une fatalité et que ces chiens-là sont voués à détruire les oreilles de leurs gardiens !
Mais il est important d’avoir conscience des particularités de chaque race lorsque nous choisissons notre chien.
💡 Exemple :
Le Spitz est sélectionné depuis des générations et des générations pour être des “alarmes ambulantes”, leur demander de devenir muet sous prétexte que cela nous incommode serait donc un non-sens. Cela reviendrait à demander à un Border Collie de ne pas troupeauter, à un Labrador de ne pas prendre en gueule ou à un Terrier de ne jamais creuser (encore plus lorsqu’il s’agit de lignées travail)…
De même, le Berger Allemand ou le Berger Australien ont tendance à s’exprimer facilement par vocalises. D’autres seront plus propices aux grognements et d’autres encore auront effectivement moins de patrons moteurs liés aux vocalises et seront donc naturellement plus silencieux.
C’est pour cela qu’en bilan, nous ferons toujours un petit point sur la race de votre compagnon, vos motivations à choisir celle-ci plutôt qu’une autre et les conséquences qui en découlent. Il est important de connaître un minimum des caractéristiques du patrimoine génétique de la race (et de la lignée) car cela peut conditionner et expliquer une partie de ses comportements actuels et/ou futurs.
Bien sûr, comme évoqué plus haut, cela n’est pas une fatalité, c’est une information à prendre en compte. Toute amélioration est possible, quel que soit l’individu, mais on ne pourra peut-être pas révolutionner tout son fonctionnement.
Un chien qui aboie est un chien qui s’exprime. Les causes sont donc multiples, qu’elles soient justifiées ou non à nos yeux d’humains…
Bien sûr, plusieurs causes peuvent se mélanger entre elles et s’auto-alimenter les unes aux autres. Par ailleurs, rien n’est figé et tout cela peut évoluer dans le temps, au fur et à mesure des expériences (positives et négatives).
Stress, peur, frustration, excitation, insécurité : le chien exprime ce qu'il ressent. Comme nous, ils peuvent s’exprimer par vocalises plus ou moins variées et comme nous, ils peuvent se laisser “gouverner” par leurs émotions.
Ce n’est ni bien ni mal, c’est tout simplement la vie. En revanche, l’idée n’est pas que cela les mette en défaut et qu’ils soient constamment submergés par leurs émotions dans telle ou telle situation !
💡 Important à savoir :
Chaque chien aura sa propre panoplie de vocalises qu’il exprimera pour une émotion, il est difficile de lister des vocalises très spécifique à une émotion pour l’ensemble des chiens. Comme souvent : cela dépend ! L’important est d’observer et apprendre à connaître son chien, avec le temps on finit par savoir quelles vocalises sont associées à quelles émotions.
🔗 Pour aller plus loin :
Le chien tente de communiquer sur sa douleur, une maladie… Là encore, tout comme nous, ils peuvent être pris de douleur aigüe et pousser un cri/hurlement/aboiement de douleur. Il s’agit d’un réflexe.
Mais cela peut également être par anticipation : ils préviendront pour éviter une situation qui risque de leur provoquer des douleurs (caresses, contact, mouvement précis, interaction avec des congénères, etc.).
Une habitude apprise (aboiement renforcé par une récompense ou par un soulagement émotionnel). Le chien agit par association, ainsi s’il a expérimenté qu’aboyer lui permettait d’obtenir ce qu’il souhaite, il y a de grandes chances pour que ça le renforce et qu’il aboie à nouveau pour obtenir la même chose. Cela peut également l’inciter à aboyer pour obtenir d’autres choses.
Ce qu’il souhaite peut être associé à l’humain et devenir donc une demande vis-à-vis de celui-ci. Mais cela peut également être associé à un soulagement interne : le rétablissement de l’homéostasie, dont nous parlons souvent en modification comportementale.
💡 Exemple :
S’il est anxieux lors d’absence et qu’aboyer lui permet de s’apaiser, il continuera probablement.
Déclencheurs liés à l'environnement : bruit, passage, voisinage, isolement, manque de stimulation sensorielle. L’environnement peut en effet être source de nombreux stimulus.
Suivant le chien, un bruit pourra être perçu comme inquiétant, menaçant ou agaçant : autant de raisons d’alerter, impressionner ou chercher à faire cesser !
Ajoutez à cela un tempérament sensible et/ou la prédisposition de certaines races à la garde ou à l’alerte, vous aurez le combo parfait… Il pourra le faire pour ses humains et/ou pour ses congénères (exemple des chiens qui se mettent tous à aboyer dès que l’un d’eux aboie, avant-même de savoir pourquoi le premier a aboyé).
Comme pour tout, il existe des facteurs aggravants aux aboiements intempestifs :
Plusieurs solutions existent pour limiter les aboiements de votre chien. Il n’en existe pas une unique pour chaque “cause” et toutes peuvent être plus ou moins utiles et adaptées suivant le profil de votre chien et les raisons de ses aboiements.
C'est toujours la première question à se poser quel que soit le comportement “indésirable” évoqué. Cela permet d’être précis et efficace dans nos protocoles de travail. Et cela nous permet également de ne pas mal interpréter l’aboiement : s’il s’agit de douleurs par exemple et que l’on cherche à “faire taire” notre chien, il y a fort à parier que cela ne fonctionne pas. D’autre part, cela reviendrait à ignorer totalement ses appels à l’aide, ce qui serait cruel et maltraitant.
💡 Important à retenir :
De la même manière, si l’on ne détermine pas ce qui motive et renforce notre chien à aboyer, on aura de toutes façons du mal à établir un plan d’entraînement suffisamment adapté et donc efficace…
Rien n’est durablement efficace sans un travail de fond bien mené et adapté à chaque duo. C’est la base, les fondations du travail de la modification comportementale. En effet, une fois que l’on a compris pourquoi notre chien aboie, il sera nécessaire de le mettre dans des conditions optimales pour être disponible à “travailler”, se concentrer et donc apprendre. Et cela passe par ce fameux “travail de fond” qui semble, au premier abord, n’avoir aucun rapport avec la problématique évoquée :
En somme, il s’agit de faire en sorte que votre chien soit prêt physiquement, mentalement, émotionnellement et énergétiquement !
➡️ Sans cela, vous risquez d’amplifier la problématique et/ou en retarder la résolution…
💡 Important à retenir :
Oui, on ne travaille pas “activement” sur le comportement mais dites-vous bien que si votre chien n’est pas suffisamment stable et apaisé, aucun protocole d’entraînement ne sera efficace, qu’il soit “positif” et plein de friandises ou non.
L’agencement d’environnement est sous-estimé voire dénigré car vu comme “la solution de facilité”. Mais pourquoi se priver d’une solution qui permette à la fois d’apaiser notre chien et nous-même par la même occasion ?
💡 Exemple :
Parfois, un simple brise-vue peut être salvateur pour tout le monde sans même avoir à mettre en place le moindre protocole d’entraînement !Et l’agencement d’environnement, cela peut également inclure le fait de tout simplement emmener son chien chez le vétérinaire, l’ostéopathe, lui changer son alimentation ou lui offrir un espace de repos isolé et calme… Il s’agit de modifier des paramètres extérieurs au chien qui puissent agir positivement sur le comportement de manière directe, mais “passive” !
Dites-vous que vos réactions peuvent conditionner celles de votre chien, vous pouvez renforcer ou limiter ses comportements en adaptant vos comportements face à ses aboiements. Dans certains cas, l’ignorance relative pourra être une partie de la solution (mais attention à ne pas générer un excès de frustration, auquel cas l’effet escompté ne sera assurément pas au rendez-vous !) et dans d’autres, une marque d’attention et d’affection plus importante sera au contraire salvatrice… Aucune recette, tout dépend de votre chien, de ses motivations, de son tempérament et de la situation.
Il serait utopique et non éthique de demander à un chien de ne jamais aboyer. Encore plus lorsque la race y est prédisposée et/ou que le comportement a été renforcé pendant une longue période. Prenez le temps de comprendre votre chien et soyez empathique à son égard, acceptez le fait qu’il fasse partie d’une espèce différente à la notre et qu’il dispose d’un moyen de communication propre à lui.
Cela semble évident mais n’est pas toujours le cas en pratique, il me semble donc pertinent d’en rappeler les fondamentaux. Pour se faire, voici un visuel tiré de ma fiche “Réactivité” à disposition de mes clients :
En matière d’éducation et de comportement animal, tout le monde y va de son conseil, sa méthode, ses outils et on finit par ne plus savoir où donner de la tête ! Certaines pratiques sont à éviter mais ne culpabilisez pas si vous vous retrouvez dans certaines d’entre elles. N’oubliez pas que nous sommes tous probablement passés par les mêmes problématiques que vous, nous avons probablement testé beaucoup de “choses à éviter” avant d’être enfin correctement conseillés (et formés !) et finalement commencer à vivre une relation harmonieuse avec nos chers compagnons.
💡 À ne pas oublier :
Prenez garde à vous protéger lors de visites sur les réseaux sociaux, le sujet du bien-être animal prend beaucoup d’ampleur depuis quelques années et on peut vite se sentir assailli par tous les conseils, mises en garde etc. Il est normal de saturer, de perdre patience, d’être humain tout simplement. Donc soufflez un bon coup, mettez certains articles ou posts de côté et allez profiter d’un doux moment avec votre chien, qu’il soit à base de câlins, jeux ou promenade !
Il est tentant et présenté comme la solution miracle, l’ultime recours… Pourtant, même s’il n’est pas douloureux (rappelons que le collier électrique est maintenant interdit à la vente en France), il ne fait que rendre inconfortable un comportement naturel chez le chien sans lui apporter ni “d’explication” ni de solution. Certains colliers vibrants peuvent être utiles et efficaces lorsqu’ils sont utilisés comme un réel outils et moyen de communication (donc préalablement appris au chien) au même titre qu’un signal verbal. Pour cette raison, il ne sera pas plus efficace qu’un “non” simple associé à une réprimande.
Ne nions pas l’évidence : la violence fonctionne. Si on nous tape dessus au moment où on dit quelque chose, il y a fort à parier que nous y réfléchissions à deux fois avant de dire autre chose la prochaine fois…
Le problème c’est que cela amène de la peur, de la méfiance, de l’insécurité et brise le lien de confiance envers l’humain. La relation à l’humain n’en est qu’altérée. Même s’il arrête d’aboyer, cela n’empêchera pas le chien de ressentir tout ce qu’il ressent face au stimulus l’ayant incité à aboyer : il risquera alors d’exprimer un autre comportement alternatif (destruction par exemple), voire de s’auto-mutiler ou de rediriger une morsure sur vous au moment de l’amorce de l’acte violent.
Par ailleurs, bien souvent, l’aboiement n’est même pas éliminé car cela est une réponse instinctive voire réflexe. C’est le cas de beaucoup de chiens qui avaient des colliers électriques : je vais prendre pour exemple la chienne de mon grand-père qui continuait d’aboyer, seulement elle finissait par s’arrêter plus rapidement à cause de la douleur… Et bien sûr, elle savait très bien quand le collier n’avait plus de batterie et donc aboyait de plus belle à ce moment, une preuve (s’il en fallait) que cela ne résolvait absolument pas la problématique de fond !
Empêcher tout aboiement reviendrait à priver le chien d’un de ses modes de communication et donc de le priver de la possibilité de nous informer d’un souhait, un malaise, un inconfort, etc. Dans le cadre d’aboiement de mise à distance par exemple, s’il est empêché, le risque est que le chien passe directement à une communication plus intense : la charge et la morsure.
Par ailleurs, comme évoqué précédemment, certains chiens sont prédisposés à vocaliser davantage (et donc à aboyer) voire à “sonner l’alarme au moindre bruit”, tenter les empêcher tout bonnement d’aboyer revient à essayer de supprimer une partie de leur génome, cela n’a pas de sens et est une cause bien souvent perdue…
Malgré tous ces conseils, vous ne vous en sortez toujours pas ?
Vous n’êtes pas seul dans cette situation, il est souvent nécessaire de se faire accompagner afin d’avoir un avis extérieur neuf.
💡 Bon à savoir :
Outre une approche comportementale, il peut également être nécessaire de se faire accompagner par un vétérinaire comportementaliste afin d’y associer une médication. Elle ne devrait jamais être à diaboliser, au contraire, elle peut être bénéfique voire nécessaire ! Des fois, cela sera un soutien médicamenteux à vie, des fois cela sera juste au début du travail et des fois cela sera à utiliser de manière ponctuelle.
➡️ Tout cela sera évalué et discuté lors du bilan comportemental afin de vous référer si besoin.
Pour travailler sur les aboiements intempestifs de votre chien, vous aurez besoin de commencer par réaliser un bilan comportemental de votre animal. Dans le cadre de mon activité de comportementaliste canin, cette étape est indispensable.
🔗 Découvrez mon article complet sur le bilan comportemental du chien (déroulé, à domicile ou à distance, tarifs…).
Lors de ce bilan, nous travaillons ensemble pour envisager les causes probables de la réactivité de ces aboiements en s’appuyant sur :
Suite à quoi, je formule des hypothèses et vous propose un « plan de travail » visant à améliorer la situation et à :
Avec tout cela, nous tâcherons d'améliorer cette situation et vous sortir enfin de vos éventuels problèmes de voisinage, de vos boules quies ou de votre angoisse à croiser tel ou tel déclencheur !
Vous souhaitez être accompagné·e pour gérer l’aboiement de votre chien ?
Lundi au vendredi : 9h-19h
Samedi : 9h-13h
06-14-94-57-18
charlottepecheur.pro@gmail.com
Charlotte Pécheur - Ostéopathe Animalier Biomécaniste
Équin, canin, félin, bovin, caprin, NACs
Spécialisée en comportement animal
Pays de la Loire (44), Corrèze (19), Creuse (23)
Charlotte PÉCHEUR - RNA OA1257
SIRET : 922 653 175 00013
© Charlotte PÉCHEUR